mardi 31 mars 2009

Twilight : Vampire Epic Fail

Lorsque j’ai entendu parler la première fois de Twilight (et c’était y’a bien trouzmillion d’année) je me suis dit : « Super, un film qui se passe dans un lycée Etasuniens, avec des vampire, des loup garou, et des jeunes filles de 16 ans, sa peut être vraiment sympa ! ».
Dans mon cortex de geek malade défilait des images d’une Buffy un peut moins tueuse, et de vampire classe devant s’intégrer dans un monde humains moderne… bref, je me suis dit « pourquoi pas »

Et puis sont parut les trailer, les images, les acteurs, les bribes d’histoire. Et au fur et à mesure que l’intérêt et les crie aigue des collégienne et lycéenne augmentait en intensité jusqu'à atteindre « Boys Band » sur l ‘échelle des couinement, le miens a commencer à ce réduire. Mais ce n’était pas fini, non, loin de là ! Alors que durant la sortie du film le niveau de créature nouvellement mamairement pourvue atteignait l’échelon « explosion vaginal » mon non intérêt à propos de ce « film » c’était transformer en une sorte d’énervement sourd accompagner de douleur anal.
La « douleur anal » suscité n’est pas simplement une utilisation de mot vulgaire destiné à me permettre d’écrire des mots vulgaire, mais bien le symbole d’un viol mental tellement puissant que mon corps décida dans sont ingéniosité, de rendre réel.
Ce viol, je n’ai pas été le seul à le ressentir, non… Je pense qu’un bonne partie des geek du monde l’on ressentie, comme une fouille anal avec un bon gant en cuire clouté. La mythologie vampirique et les histoire associé m’ont toujours interessé, avec les codes du genre, et les liberté prises par les artiste… Mais la, ce ne sont pas des liberté, les mecs qui on fait twilight le film (je parle pas du bouquin, jamais vue, jamais toucher, s’po le sujet) ce sont essuyer les chaussure sur toute cette partie de notre culture, avant d’uriner dessus et de se maudire pour ne pas avoir envie de déféquer.

Rien qu’avec les nombreux trailers et les discussions, on apprend vite que « Ho, mon dieu ! Les vampire ils vont pas au soleil par ce que sinon ils sont tout recouvert de paillettes ! Et il est trop mignon comme ca le gentil vampire ! » Ou encore que « Halala, trop lol la scène où qu’ils doivent attendre que y’a l’orage pour jouer au base ball par ce que quand ils tapent la balle ca fait le bruit de la foudre par ce qu’il sont trop fort des gros muscles et pis ils sont trop de la beauté »…

Bon, à ce moment là, on est d’accord, pas de quoi sentir quelque chose de plus puissant qu’un léger coup de pied au cul… Mais quand on regarde le discours des autres, des « professionnelles » qui en parle, où des personnes qui s’y connaissent un petit peut au gens avec de grande canines qui aiment sucer, on se rend compte qu’a aucun moment on ne parle de la dualité du vampire, de sont coté humain/monstre, de sa difficulté à vivre parmis les humains, a leur problème pour se cacher, pour s’intégrer… non, a part un gerbant « On y voie la magnifique analogie entre l’envie de sang des créature, et les pulsion sexuelle des adolescent, qu’ils doivent tout les deux contrôler et refouler ».

Mais nous ne somme pas la pour critiquer leur odieux affront envers un univers entier, envers une partie (importante) de la culture fantastique, mais pour critiquer le films, en lui même.

Vous me connaissez, je suis quelqu’un qui va au bout des choses, je savais que j’allais m’infliger une torture sans nom, que j’allait passer les pire deux heure de ma vie (oui, pire que Todo Mas !) et pour aller jusqu’au bout, lecteurs, lectrices, chinchillas, je l’ai regardé avec les doublage canadiens, par ce que pour vous qui suivez ces lignes de vos yeux rouge de fatigue, saignant de couleur et brulant de fautes d’orthographe et de grammaire, rien n’est trop bon ! Prêt ?
Bienvenue dans un monde ou tout les vampire sont populaire (sauf un, par ce qu’il faut bien un méchant de base hein…). Bienvenu dans un monde ou le plus gros problèmes des nosferatu est d’être impopulaires (et de devoir allez en terminal pour l’éternité entière), Bienvenue dans un monde ou le pire qui puisse arrivé à un mort vivant, ce sont les paillettes, Bienvenue dans le monde de Twilight !

Petit Pitch : une jeune fille, âpres le départs de sa mère surpossésive (elles s’appelles une fois par jours pour tout se raconter (ce qui permet de résumer les choses pour le spectateur qui a surement eu de mal à suivre le déluge de non évènements passé à l’écran les 5 minutes précédente)) déménage chez sont père, chef de la police de « la ville la plus humide d’Amérique » ou le temps est quasiment toujours gris et nuageux (excuse en bois, nous en conviendrons, surtout qu’on ne voie quasiment jamais de nuages, juste un beau filtre gris omniprésent).

Ce qui m’a frappé la première fois, c’était cet enfoirée de docteur. Ce qui m’a frappé dans les 5 première minutes de twilight, ce sont les dialogues écrit d’une mains de maitre, on sens qu’ils on voulut rendre le monde dans lequel on rentre le plus réaliste que possible. Voici des petite retranscription (tel quel) d’un merveilleux moment entre le père et la fille dans la voiture la menant à sont nouveau foyer.
Le père (p) –T’est cheveux sont plus long
La fille (f) – Je les ai fait couper depuis que je t’ai vue (bon, hein, doublage canadiens, toussa toussa)
(p) –Ha, alors ils ont due repousser

Mais que de réalisme ! mais c’est loin d’être le seul dialogue savoureux de cet envergure, je ne peut résister de vous faire le plaisir d’en copier un autre, toujours entre papa et fifille, lors de l’entrée dans le dit foyer.
(p)-Je t’ai libéré une étagère dans la salle de bain
(f)-Ha, c’est vraie qu’il n’y a qu’un salle de bain…

S’en suit une discution sur les draps rose que le père a acheté pour la fifille…

Bha, ce n’est pas grave, peut on se dire sans regarder l’écran, si c’est dit et que c’est bien joué… On peut passer outre certain dialogue. Et vous avez raison, pour une fois, les comédiens sont formidables ! Et quel charité de la part de l’équipe du film d’avoir aider des nécessiteux en n’engageant que des acteur atteint de paralysie facial, un grand geste, a vous messieurs bravo.

Et la mise en scène est un réel bijou, toute en subtilité, tout dans la suggestion. Prenons par exemple la première fois que l’on voir arriver les vampires, la héroïne se restore à la cafeteria, accompagné de sont nouveau groupe d’amis handicapé mentaux (et paralysé facial) lorsque la porte s’ouvre, le ralenti se déclenche, et la entrent 6 personne, un couple de stéréotype de l’américain populaire (blonde menue au long cheveux, polo, sweat autour du cou, accompagné par le mec bodybuilder brun au cheveux très court et au sourire Bright) suivit du stéréotype des neo-rockeur skateur (fille au cheveux teint en rouge, habiller tout en noir, cheveux teint en rouge, cheveux mi long, et mec a baggy veste a fermeture éclaire, cheveux en pique avec mèches blonde) et enfin, le héro ténébreux habiller en héro ténébreux avec un look de héro ténébreux. Bref, le cas classique du « choisi ton vampire préférer amis spectateur », que de gentillesse.
Nous passerons sur le ventilo de la salle de chimie (dans la ville la plus couverte et pluvieux des Staiteusseu) qui s’arrête trois quart d’heur sur l’héroïne à sont entée dans la classe, quand elle voie qu’elle devrait s’assoie à coté du héro ténébreux, et les ailes du hibou empailler placé derrière ce dernier qui lui fait des joulie ailes d’ange pour que les filles puissent se dire « ouaaaa, en fait c’est un ange, je le savais que il était trop gentil, il est trop mignon pour que il est méchant, je crois que je suis de l’amour de lui ! »

La fille tombe donc immédiatement amoureux de ce jeune homme lorsque celui-ci lui sauvera la vie.
Alors qu’elle allait être renversé par une voiture, il la sauve grâce à sa super vitesse supermaniènne (oui, il on repris les même effets, il allait pas être imaginatif dans le traitement de l’image non plus !) et une super force.
« Mince » vous exclamerez vous tellement vous étiez pris par cette fascinante histoire, « mais cela à due se voir ! »
Que nenni, elle ne se doutera de rien car ces vampires sont très vieux et maitre de l’art du mensonge pour passer discret, il lui dit donc « J’ai eu une poussé d’adrénaline, ca peut arriver, cherche sur google (noob) » ce qui éclipsera toute ces doute sur l’étrangeté de ce qui a bien put arriver (« haba sa va alors »).

Malheureusement (beaucoup) plus tard dans le film, l’ami amérindien de la fille lui dévoilera avec beaucoup de subtilité que la famille du garçon mignon est étrange, dans un dialogue qui se résumait approximativement à « nous loups garou, eu étranger suceur de sang, mais eu gentil alors nous pas manger eux ». Merci Corky.

Je pense que je vais m’arrêter là sur les spoil, je pense que vous avez compris où je voulais en venir (et je ne voudrait pas vous gâcher le plaisir de découvrire la suite de cette trépidante histoire) .

Tout dans ce films est prémâché et revomie, cousue de fil blanc, englué de bons sentiments, tourné avec les pieds et des acteur qui semblent enduit de botox enchainant les boches de charismes et même le coté vampirique qui aurai put en attiré certains ne les fera que fuir au final (ou tabasser le pauvre projectionniste).
Même si, je l'avoue, tout dans ces films n'est pas à jeter, je dirais donc les deux bon points de Twilight : 1) les seins de l'héroïne (qu'on ne voie jamais nue) 2) Le blouson du méchant.

En fait, je crois que le héros ténébreux résume se films à merveille en s’adressant à l’héroïnes, une jeune fille de 16 ans : « J’ai été conçu pour que tout chez moi te paraisse attirant » et je lui répondrait : VAMPIRE EPIC FAIL !

Toun

lundi 30 mars 2009

La pensée du jour de Toun

Me retrouvant après une éreintante reprise des court dans un état vicien (Dans le dictionnaire des maladie : Etat végétatif du corps et de l'esprit. Cet état ce différencie de la léthargie par les petits bruits rauque que peuvent produire le sujet (je, tu, il, nous, vous, ils... toussa toussa, et oui je suis sexiste) et par le fait qu'il en sort lorsqu'on lui présente une jeune femme mamairement bien pourvue ou un morceau de vois avec un nombre indéterminée de corde, putain que cette parenthèse est longue) je n'avais pas coeur a pratiquer mes activité quotidienne habituel (saut en parachute, sauvage du monde, défleurement de jeune prêtresse vierge dans des caverne humide (et pas que la caverne) et jeux vidéo et série TV (minoritairement).

Je pris donc la décision de m'infliger une torture mental, et me suis rendu compte que putain, avant, je me cassait pas trop les bonbons a faire des texte de huit millions de page pour cracher au monde mes pensées sans intérêt aucun (On sais tous que c'est faux, mais je tente de désintéresser le gouvernement qui nous recherche activement pour 'super héroïsme prodigieux et scandaleu")

Bref, pouf pouf, ni une ni deux, voici venu, scandez avec moi :
La Pensée Du Jour De Toun

"Je ne sais pas, en ce moment, pour une pizza, je lirai même le dernier Werber..."


Ce qui nous en dit long sur la bassesse de l'espèce humaine.
Enfin je crois.

jeudi 26 mars 2009

Par ce qu'il y a des artistes que l'on ce doit d'aduler

La Funk n'est pas que rolyste, la funk est partout, dans ce blog, dans cet arbre dans ce cailloux...
Et la Funk est aussi dans "Beatman et les Robiniols", avouez que rien que leur noms est une poésie, une promesse, un ballade dans un monde où toutes les couleurs sont du meilleur gouts.

Mais comme disait mozart : "Un petit clip vaux mieux qu'un long discours"

Alors voici :

"J'ai pas d'idée" de "Beatman et les Robiniols" (applaudissements toussa toussa)




Ce poste a été approuvé par Mr F Chopin.
A propos de cette chanson, Mr S.B Bach a déclaré : "J'en ai rien à foutre de vos merde, laissez moi tranquille maintenant monsieur, ou j'appelle la police... Nan, lâchez moi monsieur, lâchez moi !"

mercredi 25 mars 2009

Comment écrire un Best Steller

Bonjour ami Rolyste (la blague du singulier me fait toujours marrer),

Toi qui est venu aujourd'hui, mu par un vieux réflexe incompréhensible, lire ce salmigondi rose et vert jamais mis à jour, oui toi la pauvre âme réduit à de telles extrémités pour satisfaire tes instincts morbides, aujourd'hui ta quête désespérée n'aura pas été vaine, hélas.
Aujourd'hui, le blog des rolystes a décidé de lui aussi proposer une solution à la crise. Tout d'abord parce que à ce qu'il parait ça se fait, mais aussi et surtout parce qu'il faut bien meubler les introductions. LA solution des rolystes face à la crise ? Devenir riche. Ben ouais parsque même si tu perd du pognon tu t'en fous t'en a plein.
Oui, mais plus facile à dire qu'à faire. Voila pourquoi aujourd'hui nous vous proposons un manuel pour écrire un Best Steller, afin que vous puissiez vous en mettre plein les poches. "Mais pas si bête" ferez vous remarqué pour peu que vous aimiez citer Brigitte Lahaie, "j'avais lu le titre du Post" (là c'est plus une citation, de toute façon la crédibilité de la dite actrice affirmant qu'elle a lu quelque chose serait relativement faible).
Bah, vous êtes des petits malins, quand même !

Revenons à nos moutons. Pour écrire un livre qui va vous rapporter gros, il n'existe pas une, mais des recettes. Bien sur, libre à vous de piocher dans votre préferée. Par soucis d'exhaustivité, nous allons vous les présenter avec leurs avantages et inconvénients


1/ LA METHODE TOLKIEN :
le principe est simple. Depuis le jeune âge de 16 ans, notez tout ce qui vous passe par la tête (en rapport avec le livre quand même) sur un carnet que vous avez toujours avec vous. Adonnez vous régulièrement à cette activité (au moins une heure par jour). Meublez le reste de votre temps avec un métier en rapport avec la littérature ou vous passerez un maximum de temps à lire des livres pour vous inspirer. Soyez minutieux, tatillon et ajoutez plein de détail dont on s'en branle (des langues, un herbier, la phase de lunes, une chronologie détaillée sur 12346 ans, le nom des différentes espèces de phasmes...). Le must étant bien sur de ne PAS mentionner les détails en question dans le livre.
Avantages : Votre oeuvre colossale aura une grosse communauté de Fans qui pourrons vous défendre fanatiquement en citant des passages obscurs que personne ne connait "je te signale que dans la réédition des chroniques annexes, une note de bas de page de la mythologie connnexe mentionne une lettre écrite par Gadafulf l'anthracite qui cite une source des elfes de la fin du crépuscule du 8 ème âge (avant l'exode) qui contrevient à ton argument" imparable
Inconvénients : Il va falloir passer votre vie à écrire... en terme d'investissement de temps et de travail c'est catastrophique

2/ LA METHODE ROWLING :
Rassurez vous mes amis, point n'est besoin de vous fatiguer à appliquer la méthode Tolkien. Amis du moindre effort, cette méthode est là pour vous. Elle se base uniquement sur le marketing (qui est une force trop ancienne et trop puissante pour qu'on puisse y faire quelque chose). Première étape : trouver un concept vaguement original (n'hésitez pas à pomper... à mon souvenir je lisais Amandine Malabule à l'école des sorciers quand j'étais petit... elle avait des cours de balais ou elle était trés douée et un prof de potion pas sympa...mais je suis mauvaise langue c'est surement une coincidence : http://www.livres-online.com/Amandine-Malabul-sorciere.html) et un personnage où les petits garçons intellos qui lisent puissent se retrouver facilement. D'ailleurs n'hésitez pas à mettre un personnage féminin intello lui aussi et coupé des autres mais qui au fond à bon cœur. Seconde étape : la plus importante : la promotion. La formalité de la première étape accomplie, à vous de jouer : multipliez les forums de livre jeunesse (oui, écrivez pour les enfants, vous serez moins attaqué sur le style), les apparitions médiatiques, ne lésinez pas sur le bouche à oreille, et n'ayez pas peur des effets d'annonce : Promis juré j'écris que 7 tomes après je me retire au Tibet, le premier qui lit mon tome en avance je le marrave (mais vous laissez filtrer des informations : genre quelqu'un d'important va mourir). Puis laissez faire l'effet Buzz. N'ayez pas peur des incohérences au sein de votre bouquin, de toute façon c'est pour les gosses alors...
Avantages : Nul besoin d'être bon écrivain
Inconvénients : Il faut se dépenser un max pour lancer l'effet Buzz

3/ LA METHODE BIBLIQUE
En vérité mes amis, je le sais bien, et je vous le dis et répète me faisant écho des éons passés et de Dieu dans son infini sagesse : si vous êtes allergiques aux phrases pompeuses, cette méthode n'est pas faite pour vous. Elle a néanmoins fait ses preuves puisque la Bible reste le livre le plus vendu de tous les temps. Une bonne opération rondement menée. Son succès est basé sur des tournures de phrases obscures, répétitives et lénifiantes (un peu comme le générique des bisousnours quand j'y pense). Ces phrases en nombre faramineux, sans liens logiques entre elles, et arbitrairement découpées en livres, paragraphes, testaments, versets et prophètes rendent sa lecture quasiment aussi ardue que lire Lacan en verlan (Lacan qui a d'ailleurs opté pour cette méthode). Conclusion : sa lecture peut durer une vie, vu que tout ça n'est fondé sur aucun fait mais seulement sur des affirmations arbitraires, on peut y trouver ce qu'on veut, et quelque soit la période de sa vie ou on se plonge dedans, on peut y projeter ses doutes et angoisses personnelles
Avantages : la plus rentable sur le court et le long terme
Inconvénients : Il vaut mieux avoir une bonne réputation, de préférence basée sur la foi pour ne pas être contredit (religions, sectes ou psychanalyse donc)

4/ LA METHODE STEPHEN KING
Je résumerai cette méthode en une phrase simple : crache sur tes lecteurs, ils aiment ça. Si vous êtes un gros adepte du cliffhanger (la fin abrupte ou le lecteur reste sur sa faim) et que vous n'hésitez pas à laisser vos fans mariner pendant 10 ans avant de faire une suite, cette méthode est faite pour vous. Le principe est donc de miser sur l'énervement du lecteur. Pour cela, détaillez avec précision ce que précisément un auteur normal n'aurait pas oser aborder : les tortures, traitements inhumain, le glauque, le gore, le crasseux, l'inceste.. Tout ce qui peut choquer. Tout cela nécessite néanmoins de maintenir un suspense assez fort pour que le lecteur continue sa lecture. Pas de panique, il y a un truc. Prenez un ou des héros charismatique et qui attirent la sympathie des lecteurs. Faite tout pour qu'on les apprécie. Puis lâchez vous.
Avantages : Filon quasi inepuisable et renouvelable dans pleins de registres. Une grosse communauté de Fans
Inconvénients : à trop jouer sur leurs nerfs, méfiez vous de vos lecteurs. Attaque de votre domicile et prise en otage de votre famille en perspective


5/ LA METHODE BERNARD HENRI LEVY / BERNARD WERBER
(tients, que des bernards... à croire que quelqu'un est derriere tout ça)
Pour vous attaquer à la méthode BHL, vérifiez tout d'abord si le prérequis suivant est rempli : vous ne devez avoir aucun sens moral. Ce dernier point n'est pas crucial dans la variante werber, on le verra par la suite. C'est bon ? Ok continuons. Tout d'abord, le look. très important pour cette méthode. Le look doit être sérieux et faire un peu "prof de philo mais dynamique".Maintenant, le discours. Le but est de prendre quelques principes philosophique simples et larges, de les simplifier et de faire des rapprochement évidents, le tout sans argumentation. Dans le cas BHL, préférez des sujets d'actualités ou vous mettrez en avant votre condition d'intellectuel. attention, vous écrivez dans ce cas pour des gens se prétendant eux aussi intellectuels. Utilisez des tournures pompeuses et n'hésitez pas à engager des nègres pour faire le boulot. Dans le cas Werber, intéresserez vous aux sujets concernant la condition humaine. La, visez le profond, le remuant. Utilisez quelques expériences de psychologie et de sociologie bien percutantes pour pimenter le tout. Dès que vous êtes en rade, inventez. Après tout, vous écrivez de la fiction...
Avantages : les lecteurs adorent se sentir intelligents. Une fois qu'il auront lu un livre, ils n'hésiterons plus a vous citer, ce qui devrais inciter leur entourage à vous lire aussi
Inconvenients : Les vrais intellectuels vont vous descendre en flamme. Mais après tout, qui s'interresse encore à l'avis de ces imbéciles pompeux et inutiles dans notre société moderne, qui n'ont même pas le bon sens de se faire médiatiser.

6/ LA METHODE LOVECRAFT
Un des pré requis de cette méthode est qu'il vaut mieux être fou pour la pratiquer. Une vie bien glauque et étrange complet ici aux fans et aux critiques qui pourront alors sortir des phrases aussi inspirées que : "Cet auteur va puiser ses angoisses dans son insondable détresse et les projette inconsciemment sur son œuvre". En fait rien à voir mais bon, ça fait vendre. Une fois votre vie mise en scène vous allez pouvoir profiter de deux gros avantages concernant le style. Premièrement, le nom des méchant. Foin de bob la crapouille, vous n'utiliserez que des noms imprononçables et particulièrement longs et alambiqués. Par exemple : L'abominable dieu des puissances extérieures, Shaggoth la putrescente créature qui hurle dans les marais ou on capte même pas la TNT. La supériorité du style lovecraftien est évidente : 112 caractères pour écrire le nom du méchant (sans compter les espaces) contre 15 dans un style classique. Le gros avantage est que votre livre va se remplir tout seul ! Si vous ne citez ne serais ce que 30 fois le méchant, vous en êtes déjà à 3360 caractères. Et en plus, c'est multiplicatif puisque vous n'êtes pas obligé de vous cantonner au grand méchant. Vous allez pouvoir sortir de majestueuses phrases telles que "L'incommensurablement puissant grand prêtre Yazulof l'hideux et perfide dirigeant du Culte des horreurs sans fins rampantes dans l'ombre des citées sous marines abandonnées oubliées de tous invoqua son maitre, L'abominable dieu des puissances extérieures, Shaggoth la putrescente créature qui hurle dans les marais ou on capte même pas la TNT qui lâcha sur la terre les immondes et vermillons visqueux vers de yoth stellaires et imputrescibles suceurs de sangs." Tout ça pour dire : Yazulof invoque Saggoth qui fait attaque "vers". Votre deuxième arme est tout aussi puissante : l'ellipse. Dès que vous n'avez plus d'idée, faite une ellipse en prétextant que la suite est trop horrible pour être racontée, ou encore que le personnage perd connaissance ou qu'il devient amnésique. Plus de syndrome de la page blanche, pour vous, juste une série d'habiles ellipses narratives
Avantages : Deux puissants effets de style qui vous facilitent grandement la vie
Inconvénients : Il faut avoir une vie sombre et tourmentée (ou le faire croire) qui sera votre caution artistique


7/ LA METHODE PRATCHETT
La méthode Pratchett, c'est un peu la méthode Tolkien en plus mieux. Certes vous concevez un univers complet. Certes vous allez faire un panthéon, des alphabets etc... Mais votre idée de base, c'est l'humour et la dérision. Votre crédo, c'est la parodie. Donc, nul besoin de précision Tolkinienne, nul besoin de cohérence au sein de votre oeuvre. Vous pouvez à loisir inventer, vous contredire, vous recontredire et le tout en profitant des avantages d'un univers précréé qui vous permet en toute tranquillité de décliner 30 et quelques tomes sans vous emmerder ! Le beurre, l'argent du beurre et le cul de la crémière.
Avantages : ben je viens de les donner
Inconvenients : Toun va s'en prendre à vous pour avoir osé dire du mal de Pratchett. Il ne sera satisfait que lorsqu'il vous (enfin surtout moi) aura expliqué en face à face pourquoi c'est même pas vrai point par point avant de vous citer de tête pleins de détails de l'oeuvre de Pratchett comme preuve à l'appui. Puis il vous achèvera avec une dizaine d'anecdote sur la vie dudit Pratchett qu'il est trop sympa. Bref, à mon avis, le jeu n'en vaut pas la chandelle, évitez cette méthode.



Et voila, vous êtes paré. Il ne vous reste plus qu'à vous mettre à l'ouvrage. Dans mon immense objectivité, je n'ai évidemment cité que les auteurs que j'avais envie de titillé, évitant de m'en prendre à mes idoles Farmer, Gaiman, ou Leblanc. Libre à vous de vous en charger ou encore de poster en commentaire d'autres méthodes toutes plus mieux les unes que les autres.




__________ LA PETITE ANECDOTE QUI A RIEN A VOIR______________________________


Il y a de cela quelques semaines, je me rendais au boulot en voiture. Peu avant d'arriver à Marseille (oui, je bosse à Marseille, bien déduit watson), l'autoroute est soudain limité à 90. Oui, c'est surement le seul endroit en france ou un autoroute à 3 voies est limité à 90 2km avant la ville, mais bon. Bref, l'endroit étant truffé de radars, et n'ayant pas envie ce jour là de donner des sous à l'état, je ralentissais donc quand je fus gêné dans ma manœuvre par une voiture qui ne devait même pas rouler à 70. "Diantre !" m'exclamais je avant de prendre la décision (fort habile) de la doubler. A peine étais je arrivé tout pépère à hauteur de la voiture, que le conducteur me jetais un regard plein de haine par dessus ses lunettes de soleil crânement installées autour de son cou (il pleuvait). Ledit conducteur débraye, passe probablement en quatrième, fait hurler son moteur et me dépasse en trombe. 100 m plus loin, il se fait flasher. Moralité de l'histoire : On connait maintenant le prix de l'orgueil mal placé : 90 euros et un point en moins sur le permis




Clément

vendredi 6 mars 2009

Max "Free hug" Payne

Après une dur journée de sauvetage du monde et du dictionnaire, mon illustre personne ce décida à se détendre en regardant sur l'écran de la rolyste cave un film tirée d'un jeux vidéo, régalant ainsi sa geekitude tout en restant dans une passivité molusquaire des plus satisfaisante.

"Mon dieux" devez-vous vous écrier, "mais quel manque de goût abomifreux, les films tirée de jeux vidéo sont toujours des bouses infâmes et sans non, tu devrait le savoir, toi qui partage la conscience cosmique infinie, rentre chez toi gros newb !"

Certes, mais voila, max payne est l'un de ces jeux dont le scénario fait qu'il pourrait être avec brio adapté dans les salle obscure avec la petit lumière "EXIT" qui gène.

Mais reprenons à la base, pour ceux qui on une vie et n'ont pas la chance de pouvoir manger des jeux vidéo aussi souvent que je fume, ou qui sont juste trop jeune, ou tout simplement inculte, bref, pour les "autres", je vais vous dire ce qu'est, a la base, "Max Payne" en vous résumant brièvement (mais avec brio) le pitch du premier jeux, intitulé étonnamment "Max Payne".

Max est un flic anciennement des stups qui à perdu, un soir d'hiver sa femme et sont enfant, tuer par une bande de loubards droguée au "V" (le valkyrie).
A partir de ce moment la, monsieur payne déconnecte et n'a plus qu'un but dans la vie, trouver les responsable et leur faire manger des pruneau d'agens jusqu'à ce que leur intestins explosent. Il deviens donc dans ce but un flique "undercover" (bref un infiltré, pour ceux qui parlent pas la langue de Britney Spears).

Quelque année plus tard, il tombe enfin sur une piste pendant la "tempête du siècle" au même moment ou sa couverture tombe (et quand sa couverture tombe durant la tempête du siècle, on a froid).

L'élément le plus intéressant de ce jeux, outre la narration, à mis chemin entre le comics et le film noire, est la mentalité de monsieur payne, qui ne vit plus que pour sa vengeance. C'est donc un fous dangereux psychopathe soignant ces blessures par balle a coup de "painkiller" (des trucs qui tue la douleur quoi...) sans ce soucier de les guérir, vue qu'une fois sa vengeance accomplie, il n'a plus aucune raison de rester en vie. Ces "painkiller" vont, au fur et à mesure de l'aventure et de l'augmentation des doses, le plonger un peu plus dans la folie...
Mr Payne est un personnage noir, cynique, et foux à lier... Bref, un gars bien qui ce ballade de repère de mafieux en repère de mafieux en flingant tout ce qui se trouve sur sont chemin avec la douceur et la subtilité d'un fusil à cannon scié.

Bref, je m'instal confortablement dans mon fauteuil, prend une poignet de pop corn "miel caramel chantilly nutella" (je suis au régime) et appuis sur le petit bouton de la telecomande, pret a assister a deux heure de cynisme et de massacre imprégner de folie, rassurer par les quelque images glanée precedement dans les bandes annonces.

Et Paf, choque ! Douleur, première deception... Mark Wahlberg à l'air tout gentil, tout mignon, loin du sourir foux et je m'en foutiste du monsieur payne... le dur, le vraie !
'Boarf, pas grave' que je me dit, plein d'espoire et d'optimisme, il va bien péter son cable quand l'histoire va commencer, ils vont pas nous le laisser en monsieur tout moue !

Bha non, j'avais raison, il ne reste pas monsieur tout moue, il devient "Monsieur tout moue et tout calin !"

Je pense que le réalisateur, John Moore, c'est essayer au mouvement artistique des "Et si" en posant le postula "Et si Max Payne avais rejoins le mouvement "Free hugs".
Et je peut dire qu'il à plutot bien réussi dans cette voie-ci.

Mr payne est donc tout en gentillesse, en calin, il ne tue que si il le peut, et pas trop méchamant non plus. Il ne prend pas d'anti douleur, par ce que la drogue, c'est mal, et que les bléssure, il vaut mieux les soigner pour pas que sa empire, je m'attendait presque qu'il dise à un personnage secondaire "ils ont tuer ma femme et mon bébé, mais je continuer a manger trois fruit et légumes par jours !".

Enfin, en même temps, il est pas trop blésser hein, faut dire que notre nouveau Max "Free Hugs" Payne suis bien le principe de sont mouvement et est a fond dans l'esquive de conflict... Sauf quand on le drogue, alors la, bha comme il est pas lui, il tue les... 3 ou 4 méchant pas beau qui trainent dans le batiments (pas trop de mort, merde ! sinon il devra rendre sa carte de membre du club des gentil bisounours).

Bref, j'ai vomi, jeté mon pop corn sur le Dokteur clément qui tentait de disséquer une menace extraterrestre rose et au poil soyeux, et je suis partie pleurer en boule dans un coin, remué de spasme et de sanglots.

Bref, je conseil Max Payne à toute personne n'aimant pas le sang, la violence, et adepte des petit panneau en boits qui demande au gros poilu de venir leur peloter les fesses.

Allez, je prend une bonne perf de morphine, je passe deux trois jours en maison de repos, et je serai pret pour "Watchmen"...

Toun