dimanche 12 avril 2009

Le cul de chouette : règles avancées

Afin que l'on n'oublie pas les deux petites règles à rajouter au cul de chouette pour que ca soit vraiment fun, voilà un mémo :

- La Sur-Velute : pour une Velute de 1, 2, 3, 4 ou 5, il est possible (pour un autre joueur) d'annoncer un défi Sur-Velute. Ce défi permet de voler les points de la Velute au joueur venant de la faire. Pour réussir une Sur Velute, il suffit de faire une Velute d'une somme strictement supérieure à la Velute du joueur défié.
En cas de Sur Velute réussie, le défieur gagne les points de la Velute du défié (qui ne les gagne pas), plus les points de la Velute du défieur.
En cas d'échec, le défié gagne les points de sa Velute normalement, et le défieur les perd.
Il n'est pas possible de faire une Sur-Velute sur une Sur-Velute.

Exemple : le joueur A fait une velute de 3. Il devrait gagner 18 points. Le joueur B décide de lancer un défi Sur-Velute. Il lance alors ses dés, et fait 2, 3, 5. Il a donc réussi une velute de 5. Le joueur A ne gagne donc aucun point, et le joueur B gagne 18+50 points. S'il avait échoué, il aurait perdu 18 points et le joueur A aurait gagné ses 18 points normalement.

- La Cendrée : sur une Velute de 6 qui n'est ni une Sur-Velute, ni une Chouette Velute, il y a Cendrée. Tous les joueurs doivent dire "Sèches sont les galettes bretonnes" en se tapant sur la cuisse. Si le joueur ayant fait la Velute de 6 ne le dit pas en premier, il ne gagne pas les 72 points de la Velute. Si il le dit en même temps qu'un des autres joueurs et en premier, les joueurs concernés doivent lancer un dé. Si le joueur Cendré fait un score inférieur aux autres, il gagne les 72 points. Si il fait un score supérieur, il ne les gagne pas. Si il y a égalité, tous les joueurs ayant fait son score et lui-même perdent 72 points.


Lien vers les règles de base : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cul_de_chouette

un rêve de geek euh...gosse.

Parce qu'on est dimanche aujourd'hui, parce que ce soir le gang des Rolystes va se casser le ventre avec une soirée hamburger, parce que je me suis fait réveiller par mon métronome qui s'est mis à faire des bruits comme la radio de Silent Hill et parce que j'en ai pas envie: Je ne vous dirai rien NA !!



Vic

vendredi 10 avril 2009

Révélation d'un complot

Je vis ici peut être mes derniers instant, je vais surement bientôt disparaître dans de mystérieuse circonstance, car sachez le, après la parution de cet article, on va essayer de me faire taire, ils vont tout faire pour que mon existence elle même soit effacé, pour faire s’éteindre la voie de la liberté.
Car oui, madame, monsieur, j’ai réussi à percer un complot gouvernemental de la plus grande importance, qui nous vise tous, qui nous atteint tous, sans même que nous nous en rendions compte. Et je vais ici tout vous dévoiler, tout vous expliquer.
Accrocher votre ceinture, accrochez vous bien, ne courrez pas avec un bâton et poussez mémé dans les orties, ce sera un des grand choc de votre vie (plus grand même que l’abominable meurtre de Gro quick perpétrer par ce maléfique lapin de Quicky)

Comme vous ne le savez probablement pas (sauf si vous faites partie des sbire de notre chère gouvernement, auquel cas je vous demanderai poliment de ne pas lire la suite) je prend le train quatre à six fois par moi, pour me rendre à la rolyste cave et me remémorer qu’on à les amis que l’on mérite.

J’apprécie particulièrement l’attente sur le quai de gare On y voie défiler toutes sortes de personnes, une multitude de visage morne sans expression, les styles vestimentaire surement imaginer par un yorkshire daltonien victime de brève mais fréquente crise d’épilepsie. Tout cela dans une ambiance générale d’énervement et d’ennui.

Je dit dans ces lignes que je voie de tout, certes, mais je n’en regarde que peut, je ne regarde que ces douces créature mamairement pourvue dont le petit minois laisse percer l’espoir d’une chance pour l’espèce humaine dans mon cœur ronger par la laideur ambiante de mes contemporain passif.
Et de ces belle nymphe au âges variant (entre 16 ans et 16 ans et demie, diront les mauvaise langue ignorant que mes critère de beauté évolue avec mon âge (maintenant ce serait plus 18 -_-‘)) sont beaucoup plus nombreuse que l’on pourrait le croire de prime abord.
La monter de moutarde dans mon orifice olfactif causé par le fréquent et général retard de mon moyens de locomotion sur rail ce voie donc vite refluer par l’arriver du subtil espoir de partager mon étroit siège et l’éreintante promiscuité imposer par les ignoble au costume bleu avec une petit merveille qui, nous pouvons toujours rêver, ce retrouvant assise à coté d’un homme sexuellement attirant tel que moi, pourrait engager la conversation, ou le coïte, celons son degré de promptitude (ou de désespoir) .

Cette espoir, alors que le temps passe et que je me rapproche du repère alphabétique qui m’est attribué par mon petit morceau de carton, ne fait que se renforcer lorsque je voie devant, derrière où à coté de moi une ou deux de ces sympathique humains dont je voudrait occuper le devant, le derrière, ou le coté du lit.
Je me retrouve donc la extatique et frémissant, consommant avec joie mon loisir et ma mort nicotinique et attendant l’arrivé de cette délivrance mécanique qui pourra, si la chance (et la jeune demoiselle le veux) faire naitre un peut de bonheur dans mon être tristement misanthrope et pourtant bercée d’illusion.

Mais voilà, alors que je foule de mon pied léger et de mon pas félin la moquette vomitive du wagon pour m’assoir sur l’objet de torture qui devra supporter mon délicat et royal fessier durant une petit heure et demie, le compartiment se trouve emplie de quinquagénaire, de jeune hommes à l’air crétin, vide, et complètement ignorant de la base de l’association des couleurs (qui dit ; « le noir va très bien avec le noir, et si t’en a pas, met du gris), de vielles dames tenants leur chiens en laisse, de petit chiens tenant leur vielle en laisse et d’enfant braillard et pleurnichard dans les bras de leur mère déjà usée par une vie qui n’est plus la leur.

Je m’assoie, perplexe, étonné, perdu au milieu de cette marrée « d’autre » mais sans perdre de vue la lueur d’espoir que bientôt des Aphrodite par dizaines aperçue sur le quai emplirons le wagon pour qu’enfin mes yeux puissent arrêter de saigner à cause de cette horrible spectacles que m’offrent toute ces personnes qui n’on même pas la délicatesse ou le bon goût d’être au miens.
C’est généralement à ce moment là que viens mon voisin. Je remarque qu’il est toujours du même type, l’air patibulaire mais franchement ennuyer, les 45 ans passer, repasser, et sans plie, et une odeur d’autre choses, une autre choses rarement agréable. Le genre de personne qui souffle lorsque je daigne sortir mon pc, lorsque je bouge la jambe, qui lance des regard de désapprobation en nous regardant, comme si on avais fait quelque chose de male, et qui ne daignerait pour rien au monde engager une quelconque conversation (et je les en remercie, je suis une personne qui n’à pas grand chose à dire de toute façon). En plus, je suis quasiment sur et certain qu’ils font tous exprès de faire en sorte que nos genoux s’entrechoque dès que je daigne, que dis je, que j’ose faire un petit mouvement de jambe pour calmer la crampe qui m’assaille (oui, elles viennent de loin) depuis une dizaine de minutes.

Bref, envolé les nymphes, partie les Aphrodite, disparut les rêves et les espoirs d’un lendemain meilleur entre les bras (ou tout autres membre, je ne suis pas regardant) d’une des ces jeune et agréable créature, partie les rêve, manger par un ogre, obèse, barbue, ou les deux.

Je me suis alors rendu compte que mince, bordel de merde de couille à chiotte, les jolie fille ne quittent jamais le quai de la gare ! On en voie bien une ou deux lorsque l’on se balade dans le wagon à la recherche d’un endroit ou vider la rancœur accumulé et la vessie maltraité, mais elles ne sont que leure placer ici par les salops en bleu pour nous faire croire que nous aussi, si on continuait à utiliser les monstre de métal, on pourrait se retrouver un jour à coté d’une femme en mini jupe avec un sourire email diamant ayant l’air d’avoir très envie de nous prouver toute sa maitrise de la langue française.
Mais non, rien, jamais ! Niet ! Je vous ai percer à jour, vous, vendeur de place trop chère, qui lâcher sur vos quai de pauvres jeune femme kidnapper je ne sais où afin de faire baver le pauvre homme encore assez fou pour rêver.
Ne vous laissez plus prendre lecteur (et vous un peu plus, lectrice), on vous manipule on se joue de vous !
Je ne serait peut être plus là à l’avenir pour vous prévenir contre leur ignoble machination, car je suis certain qu’il me cueillerons à la sortie de leur monstre de métal dans lequel je me déplace actuellement.

La prochaine fois que vous croiserez une belle femmes, un sourire, ou un regard de ces humains mamairement pourvue, pensez à moi, pensez à ce message d’un homme qui sera peut être obliger de sa cacher toute sa vie pour avoir oser vous avoir révéler la vérité, pour vous protéger.

La minute forteenne

aux temps glorieux des pionniers du jeu video, en cette époque où enfin des geeks bien intentionnés sortaient l'humanité de son ignorance crasse et de sa grisaille ambiante par le biais du videoludique, il existait une référence. Un jeu qui a su rester mythique et dont vous avez tous entendu parler : PONG ! Avec juste deux barres blanches à la con et une baballe toute pourrie pong proposait des heures d'amusement. Mais ce que l'on sait moins, c'est que lors de sa sortie, au bout de 15 jours seulement, un homme etablissait une fois pour toute le meilleur score, un score qui devait rester jusqu'à nos jours invaincu. Cet homme devait devenir une légende sous le nom de "l'homme Pongoïde". Mais qu'est il devenu depuis son exploit ?

Attendez... On me fait signe que je viens de tout inventer sans chercher de sources et sans me fouler et que je suis (en plus d'un gros branleur) complétement à côté de la plaque. Bon, eh bien je vais devoir m'arreter. Et oui, vous ne le saviez pas, mais Toun fait regner un ordre féroce sur ce blog. Tous les articles publiés ici sont observés attentivement, leurs sources vérifiées, les fautes d'orthographe traquées... Si il reste un seul défaut, Toun rejete l'article sans pitié, sans même verser une larme, son coeur restant de pierre face aux supliques despérées des auteurs qui voient leurs mois de travail réduit à néant d'une seule sentence définitive et sans appel. D'ailleurs, n'existe t'il pas un proverbe qui dit : sévère comme un Toun qui rejete un article ? Non ? Mais il pourrait en exister un. Bref, tout ça pour dire que bon c'est pas le tout de faire des envolées lyriques (et un brin exagérée, mais juste de quoi rendre la lecture attrayante), mais il faudrait se mettre un peu au boulot et parler du sujet du jour. C'est vrai quoi ! c'est carrement le bordel, on se croirait dans une rubrique à brac.

A vous professeur Burp

P. Burp : " Bonjour les amis, et bienvenue dans l'exposé zoologique de la semaine. Aujourd'hui, nous allons nous interresser à l'homme Pongoïde. Voici un homme Pongoïde représenté de face, de profil gauche, de profil droit, de dos, de dessus, de dessous, de trois quart face. Bref, vous l'aurez compris, l'homme Pongoïde aime se faire admirer. Sous ses airs velu et féroce, c'est en fait un grand sensible, adepte de la poésie. En fait, un vers particulièrement émouvant peut même le faire défaillir. A ce propos, ça me rappel une truculente anecdote à propos d'Isaac Newton. Un jour, alors qu'il se promenait dans la jungle Birmane en déclamant du Ronsard, il passa sous un arbre ou le guettait un homme Pongoïde. Ce dernier fut a ce point touché par la beauté du poème qu'il en chut de sa branche sur le docte savant. Ce dernier conçu ainsi sa fameuse théorie sur l'attraction des hommes pongoïdes. Cette anecdote me fait encore bien rire. La femelle Pongoïde, ou femme Pongoïde n'allaite pas ses petits. En effet elle pond un oeuf une fois par an. Mal grès que ce miracle de la nature soit admirable, c'est également gênant pour la survie de l'espèce car la femelle ne peut couver qu'au fond de la jungle Birmane sur la Montagne de Ide. Et oui, la femelle est si timide qu'elle ne pond qu'au Ide (ce jeu de mot m'a valu une grande baffe en travers de la gueule au festival des gros lourds de l'humour). Le seul spécimen d'homme Pongoïde jamais observé était conservé dans la glace dans un congélateur. Ceci nous apprend deux choses trés importantes : Premièrement que l'homme pongoïde est très friand d'esquimaux (en chocolat). Ce qui, pour un habitant de la jungle Birmane est relativement ennuyeux. Deuxièmement qu'il est très malhabile dans le maniement des congélateurs. Les deux héros de la Science qui ont pu observer la dépouille gelée de ce spécimen d'hominidé unique n'ont malheureusement jamais réussi à se le procurer ni même à capturer un autre spécimen vivant, laissant une énigme qui allait longtemps (jusqu'à nos jours) agité le petit monde du fortéanisme. Toutes les recherches entreprises pour trouver un homme Pongoïde sont restées vaines. En pleine terreur à Manicouagan, isolé dans la jungle Birmane, le héros s'appelle l'homme Pongoïde. A la prochaine les Aminches !"




__________ L ANECDOTE QUI A RIEN A VOIR ____________


C'est qu'il en arrive des choses à un auteur du blog des rolystes dans sa petite vie. Dernièrement votre serviteur (ceci n'est qu'une convention imbécile permettant d'éviter de dire moi... inutile de rêver), s'est retrouvé quasi au chômage technique. En effet des émanations de dioxyde de souffre polluent l'université de Saint Charles, l'empêchant d'atteindre son Laboratoire chéri où il fait rien qu'à torturer d'innocents sujets d'expérience à coup de mots flashés en pleine face. Horriblement et brutalement sevré, le pauvre scientifique en herbe (moi donc) du se passer de son université préférée. Moralité : Quand on souffre trop, on perd ses facultés



Clément

samedi 4 avril 2009

Le retour karmique du Compagnon Cube

OMG way trop bien d'la bombe suprazatomik... oui ça veut rien dire mais bon, faut bien commencer par quelque chose pour son premier post, et comme le blog des Rolystes est affranchi de toute convention politico-juridico-sociale on a de la marge.

Bonjour cher lecteur de ce blog aux couleurs infâmes non prises en charge par la sécurité sociale. Aujourd'hui et pour mon premier message, je viens titiller tes souvenirs de geek en te mettant en face de ton meilleur ami, j'ai nommé le "Compagnon Cube"



Alors oui tu le reconnais, tu as joué à Portal toi et tu ne peux t'empêcher de laisser couler une petite larmichette du coin de ton zoeil humide, c'est normal tu l'as sacrément laissé tomber le pauvre pour un gâteau.
Et bien sache que la Cube IL EST PAS CONTEEEENNNTTT et que dans sa nouvelle vie karmique il à grave les boules que tu l'aie laissé tombé ainsi.
Mais n'aie crainte, je l'ai retrouvé et tu pourras donc te préparer à ce qu'il pourrais te faire subir.



Bon, comme moi et les autres Rolystes t'aimons bien lecteur, je vais te dévoiler un moyen sur de ne pas subir le courroux du Cube: envoie une grosse somme d'argent aux Rolystes et ils te sauverons, c'est certain car les Rolystes sont plus fort que le Compagnon Cube.

P.S. si rien de ceci n'a de sens pour toi, "go to wikipedia, n00b !"
Avec mes amitié pas sincères du tout.

Vic

vendredi 3 avril 2009

Voila ce que j'ai fait pour un devoir d'anglais. Comme je suis méga fort et que je roxe, je vous fait part du résultat : un magnifique pamphlet contre la télé réalité.

About reality television possible excesses, or what’s so wrong about all that ?

There are three figures in the modern dance that is real tv and we’re going to take a quick look at each of them.

First of all, the widest and still in growing part, the spectator, the viewer. And viewer is a good word to describe his position as he watches real people’s actions and reactions in different kinds of situations : surrounded by twenty handsome women, asked to do an unchallenging but unexpected challenge, pursued by the police or faced with his worst fear. This viewer can watch the program literally or with a little detachment and there are some pits one must avoid in both cases.

Indeed, watching a reality show literally means getting emotionally involved, and feeling empathy with the people evolving in it. The problem is that this so called reality one is watching is far from being realistic : the situations are fake, the presence of cameras distorts reactions and last but not least, a lot of things are not transcribed and are filtered by the production. The result is a dream - or a nightmare - designed to appeal to the client, to make him react. One could look at these shows and believe them and have one’s standards of reality dangerously twisted : some psychiatrists from Montreal discovered a new kind of mental illness they called The Truman Show Delusion, which consists in believing your life has ceased being genuine and is being scripted and broadcasted to the world. A good friend of mine actually lives his life as if being watched at all time, making jokes to imaginary cameras even when he’s alone. Another one is trying to create a religion based on watching your whole life through a «death cam» after you die. That idea is old : Seneque advise people to (written in his Letters to Lucilius) live your life as if it is a play, it’s not important if you play only one act or the whole show, as long as you play it good. This point of view may become more and more common as real tv is spreading to the world.
Another interesting point is the spirit of paranoia and competition present in almost all the reality shows : it emphasizes the feeling that one must be wary of the other, one must be better than the other, which goes against any harmony principle that should ideally rule our society.

On the other hand, if you - and when I say you, it could also be your 8 years old kid - watch such a show with detachment, for entertainment, it’s probably only to tickle your worst human tendencies : sadism - the shows are getting more and more cruel and twisted, lately Jade Goody, a real tv UK star, offered her death to the british cameras ; voyeurism - just type naked Big Brother in Youtube ; sarcasm and cynicism - real tv participants don’t seem to be recruited for their brain power. The detached spectator enjoys seeing real people humiliated, hurt, showing stupidity and ignorance. The exact word for that is Schadenfreude : it means taking joy in harm, it’s the opposite of sympathy or compassion. Cognitive studies show that this emotion is happening to raise one’s opinion of oneself, and the more you envy the hurt person, the stronger it grows : replace the mirror in your bathroom by a flat screen and you’ll see other people’s ugly faces instead of yours. This leads to intellectual stagnation, as seeing you’re already so much superior than this bunch of people could prevent any willingness to improve.

The other involved figure is the participant, who may or may not survive his trip towards celebrity and media overwhelming presence, his life exposed, his emotions and actions carefully studied, doing all the «Masters Who Can Bring Him Fame/Fortune/Love/Life» want him to perform, getting paranoiac, revealing secrets, and finally either fails and disappears, despised by all, or succeeds and be doomed to be That Guy From Big Brother Season 2. One may or may not enjoy all of that, but they probably signed some sort of contract and knew what to expect. Hell, most of them probably love being lab rats, eating, sleeping, dancing, reproducing, playing in front of cameras : they want to be someone in this western society of anonymity and nobodies.

Last but not least, the producers are the one who had the idea and the means to create the real tv shows. They found a gold mine, people love it and one hour of reality show costs substantially less than one hour of fiction show, as you don’t have any actor or writer fees. The art of making money out of the public by getting the public to provide the content. They must not be blamed for the risks of their show, as they merely put the money in it and take back their dividend.

In conclusion, reality television offers something that answers our society needs, otherwise it wouldn’t have spread in the whole world the way it did. But what do we need so badly we’re ready to face all the potential excesses it brings ? The philosopher Slavoj Zizek has a beginning of answer : «The authentic XXth century passion to penetrate the Real Thing (ultimately, the destructive Void) through the cobweb of semblances which constitute our reality thus culminates in the thrill of the Real as the ultimate "effect," sought after from digitalized special effects through reality TV and amateur pornography up to snuff movies. [...] The late capitalist consumerist paradise is, in its hyper-reality, in a way IRREAL, substanceless, deprived of the material inertia.». In the Matrix and the Truman Show movies, in the Philip K Dick novel Time Out Of Joint and many other similar fictions, the hero gradually awakes from the «fake world» and discovers the truth beneath it. We live in a world so filled with screens, with fake smiles and cameras, where hypocrisy and lies have become so natural, that we doubt its sheer reality. It’s the latest version of the Plato cave. And paradoxically, the answer to that need of reality, and, should I add, to that haunting sensation of life’s emptiness, is a set of artificial realities designed to make the western civilization's human being actually FEEL something.

Feanor

jeudi 2 avril 2009

Oo

Nous, chez les rolystes, on aimes très fort les zombies dans la fesses
Nous, chez les rolystes, on aimes très fort les jeux vidéo dans les mains
Nous, chez les rolystes, c'est pas qu'on aimes pas les plantes, c'est juste qu'on s'en fout (sauf Clément, notre psycho-ninja du Périgord)

Bref, enjouayer avec vos yeux, vos oreilles (mais moyens moins votre cerveau)




Attention : Cette vidéo comporte un dauphin zombie !