Bonjour à tous, non lecteur de ce blog.
Non, vous ne rêvez pas, inutile de vous rincer les yeux à l'eau de javel ou de regarder, l'air accusateur, le petit sachet de substance illicite que vous venez d'ingérer en espérant passer un merveilleux mardi après midi, loin du travail, des ennuie, des enfant, des chiens, des chats, et des être forteen de tout genre. Non, vous n'avez pas changé de continuum, ceci est bien un post de toun.
Queeeeoooaaaaa ! Mais n'était-il pas mort ? Et bien non, je me remettait juste une flémingite supra aiguë, du genre chronique a répétition avec des tentacules, une bouche ovoïde et plein de petite bactérie aussi mouvante que de la cellulite sur un dance floor.
Quel fut mon médicament ? Au vue de la date, vous devez vous en douter un minimum (ou pas, celons votre degré d'autisme, d'isolement et de misérabilisme) mais il s'agit bien entendu de la saint valentin.
Alors que je parcourait mon existence dans un confortable brouillard grisâtre, terne, formé de mon habituelle fumée de sucette à cancer et d'un délicat dosage de différent produit polluant, ne voilà il pas que le monde autour de moi voie apparaître un nombre indécent de petit cœur rose, de chanson glamour, de bouquet de fleur... et de cet agréable prolifération d'affiche pour des sous-vêtements féminin.
Je tente, bien sur, de rester dans ma zone de confort, d’oubli cela, de mettre à profit ma formidable capacité à l'abstraction... Mais voilà, à force de vomir des arc en ciel et des petit lapin rose tout les trois pas, on ce dit que l'on doit réagir.
Ma première réaction fut de modifier la réalité afin de supprimé cette aberration de pseudo fête afin de retourné a ma tranquillité primaire... mais ceci fait, je me suis rendu compte que tout les homme de la planète étaient un tout petit peu plus heureux, que cet action libéra leur esprit d'un tout petit poids pesant sur leur conscience, d'un peut de stress... bref, que la population masculine française s'en portait mieux... et ce fut encore plus insupportable. Balayant d'un revers d'esprit cette dernière erreur je me trouva forcer d'ouvrir mes yeux, et de regarder autour de moi afin de pouvoir, une foi de plus, apporter l'illumination à ceux qui le méritait, oui, a vous, qui plissez vos yeux humide en fixant les couleur blessante de cette abime de stupidité.
Bien sur, je ne parle pas au célibataire, qui peuvent, eux, profiter de cette période dans le bonheur béat de leur liberté conservé, eux qui on put passer la dernière soirée tranquillement installé dans leur canapé, un succulent plat de pâte posé sur les genoux et les yeux rivé sur un programme télévisuelle quelconque absorbant toute intelligence et toute pensée de leur esprit plus efficacement qu'un sachet de deux kilo de farine qui fait éternué.
Non, je vous parle à vous, rare non lecteur qui firent le mauvais choix à un moment de leur vie de partager leur âme, leur cœur et leur console avec des être génialement déficient, certes, mais mammairement supérieur. Vous qui avez stressé hier, tentant vainement de crée une soirée parfaite en ce jours afin de pouvoir vous échapper de ce morne monde quelques soir par semaine, et surtout vivre pour voir le lendemain et peut être un de ces magnifique pièce de tissue aperçue subrepticement lors de l'achat de la douzaine de roses que vous avez payer à pris d'or afin d'apporter au restaurant obséquieusement chique que vous avez réserver hier à la dernière minute lorsque votre douce et tendre vous glissa un « tout est prêt pour demain ? J’espère que tu m'a fait un surprise » assis sur les toilettes partagé de votre nid d'amour commun à travers la porte ouverte ou fermée de la salle de bain, celons votre niveau d'intimité et donc la fréquence de vos rapports intimes (oui, c'est mon nouveau style d'écriture, un paragraphe = une phrase, et c'est la classe, ça fait travailler la respiration).
Mais je parle aussi à ces pauvre femmes, qui tentant de conquérir un homme abscent, fuyant, distant, qui, lorsqu'il n'est pas en train de consulter d'horrible site au couleur criarde au potentiel aveuglant d'une super nova passe sont temps affalé sur le canapé à jouer a la console que vous lui avez préter, vous privant ainsi de vos rare moment de bonheur ludique, et qui lorsque vous lui glissez « tout est prêt pour demain ? J’espère que tu m'a fait un surprise » assis sur les toilettes partagé de votre nid d'amour commun à travers la porte ouverte ou fermée de la salle de bain, celons votre niveau d'intimité et donc la fréquence de vos rapports intimes, semble rester de marbre et n'a d'autre réaction qu'un « mmm, t’inquiète, encore un niveau et je m'en occupe ».
Vous, femmes qui espérez le reconquérir en arborant fièrement un de ces magnifique produit de charme que vous avez patiemment étudier et choisi sur les affiche que vous croisez dans la ville, et qui espérez ainsi réveillez en lui l'ardeur de vos premier amour, voir l'ardeur tout court plus les plus malchanceuse.
Et bien, oui, je vous parle à vous, et voici ce que je vous dit, voilà le conseil que je vous donne afin d'éviter un piège mortel qui tuerai l'amour de votre aimé(e), votre conscience en vous et surement un ou deux petit animaux à fourrure.
Voici : La pensée de l'année de Toun :
« Les lolcats, le premier soir, ça crain »
voilà, vous pouvez maintenant vous répéter cette phrase plusieurs fois afin que l'an prochain, l'homme, la femme, folle/fou de désir, d'envie, et emplie d'amour vous jure fidélité éternelle (pour la soirée, reste la secrétaire / le collègue minon qu'on garde pour le déjeuné de demain) et que les autres client du restaurant, dont le menu le moins cher avoisine votre loyer mensuelle, ne vous lances plus leur nourriture pendant que le serveur, classe mais humain, vous crache dessus.
Toun
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